Kamaru Usman

Originaire du Niger, selon les professionnels et les fans de MMA, Kamaru Usman est celui qui domine le classement UFC, et ce, dans toutes les catégories. À l’âge de 34 ans, ce combattant brille par sa force et son talent. Il domine l’octogone simplement et ne laisse aucun adversaire debout depuis ses débuts. Avec 19 victoires à son actif, ce spécialiste de la lutte, qui fait partie de l’équipe des Hard Knocks 365, fait le show dans le MMA depuis 2016.

Jon Jones

Faisant partie de la catégorie Poids lourds, Jon Jones attire pourtant la sympathie et l’affection des organisateurs de combat libre. Bones, comme se plaisent à le dire les intimes, fait 1,93 m avec un physique unique en son genre et fait preuve d’une persévérance exceptionnelle dans la cage pendant les combats. À 34 ans, ce lutteur originaire de Rochester a 28 combats à son actif avec 26 victoires et 1 défaite ainsi qu’un combat sans décision. Au cours de sa carrière, il a obtenu tout de même plusieurs titres dont le Champion des poids mi-lourds de l’USKBA en 2008, le Champion des poids mi-lourds de l’UFC en 2011, 2015, 2017 et 2018 ainsi que le Champion intérimaire des poids mi-lourds de l’UFC en 2016. Pour en savoir plus sur les disciplines des sports de combat, renseignez-vous en ligne. En effet, vous pouvez y trouvez toutes les informations nécessaires permettant de vous initier aux sports de combat comme le MMA, la boxe et même le judo.

Brandon Moreno

Brandon Moreno ou « Le bébé assassin » est un combattant originaire du Mexique en Californie spécialiste du Jui-Jitsu Brésilien. Il a à son actif 26 combats depuis ses débuts dans le MMA et 19 victoires dont 3 par K.O et 11 par soumission. C’est l’un des meilleurs combattants de la catégorie poids mouche de l’UFC où il a fait ses débuts en 2011. Âgé actuellement de 28 ans, Moreno est le champion en titre de l’UFC Flyweight.

Aljamain Sterling

Né en 1989 à New York, Aljammain Sterling est le champion en titre des poids Coqs de l’UFC. Aussi connu sous son nom d’emprunt : « Maître du funk », sa carrière est faite de 23 combats en tout avec 20 victoires dont 2 par K.O et 8 par soumission. Faisant 180 cm pour 61 kg, ce spécialiste de la lutte est aussi un détenteur de ceinture noire de Jiu-jitsu brésilien. Ce qui lui permet de dominer ses adversaires simplement et rapidement. Il s’est notamment fait connaître à ses débuts dans l’UFC en 2016 grâce à son combat contre Cody Gibson qu’il a gagné par décision unanime.

Amanda Nunes

Originaire du Brésil, Amanda Nunes est aussi l’une des combattantes les plus renommées de l’UFC. À l’âge de 33 ans, cette spécialiste du Jui-Jitsu brésilien et de la boxe fait partie de la catégorie poids coq. Elle présente 24 combats à son actif avec 20 victoires et 4 défaites, et au passage quelques titres comme la Championne des poids coqs de l’UFC en 2016 ou encore la Championne des poids plumes de l’UFC en 2018.

De quoi aurez-vous besoin ?

Le cuir est le matériau généralement utilisé pour confectionner un sac de frappe. Néanmoins, pour un sac de frappe amateur, une bâche suffisamment épaisse peut faire l’affaire. La taille standard pour ce type d’équipement est de 100×35. Vous aurez donc besoin d’une toile faisant à peu près cette dimension. Du fil de pêche ou du fil de tapissier vous permettra ensuite de coudre le sac pour lui donner sa forme. Une fois qu’il est prêt, il ne reste plus qu’à le remplir et à le fixer.

Toutefois, avant de confectionner le vôtre, il est important de vous informer sur les différents modèles qui existent déjà et sur tout ce qui concerne cet accessoire de boxe. Le site sac-de-frappe.info peut alors vous aider. En effet, celui-ci donne des détails sur cet accessoire, ce qui pourra vous aider dans vos travaux.

Avec quoi remplir le sac de frappe ?

Le sac doit être suffisamment lourd pour éviter qu’il ne s’envole à travers la pièce à chaque coup. Afin de lui offrir une bonne stabilité, vous pouvez remplir sa base avec un peu de sable. En revanche, ce n’est pas une bonne idée d’utiliser intégralement du sable comme rembourrage. Ce matériau granulaire a tendance à se tasser après chaque utilisation, ce qui a pour effet de durcir progressivement le sac après chaque utilisation. La meilleure solution consiste à utiliser de la sciure de bois à tasser dans des sacs étanches jusqu’à obtenir le poids voulu.

Ne pas négliger les autres équipements

Même si la sciure absorbe mieux les chocs et protège vos os ainsi que vos articulations, s’entraîner à mains nues n’est pas recommandé. À défaut de ne pas pouvoir acheter un sac de frappe professionnel, vous devrez au moins vous équiper de gants. Ces derniers ont également pour fonction d’amortir les impacts de coups. Sinon, il vous est possible d’utiliser des bandes, dont la principale fonction est aussi de protéger les mains du boxeur.

N°1 : le Tour de France

Le fameux Tour de France obtient la meilleure audience en matière de compétition sportive. En effet, elle est diffusée sur plus de 80 chaînes de télévision dans près de 190 pays, ce qui fait approximativement un milliard de téléspectateurs dans le monde. Cette compétition regroupe une multitude de catégories de spectateurs allant des jeunes adolescents en vacances d’été aux grands-pères fumant leur pipe sur la terrasse. D’ailleurs, ce ne sont pas uniquement les Français qui aiment suivre le fameux Tour de France, mais partout dans le monde, les spectateurs se donnent rendez-vous pour suivre les cyclistes dans leur périple et cela a duré depuis de nombreuses années. Outre le fait d’apprécier la compétition, les spectateurs sont aussi fascinés par la découverte du paysage de l’Hexagone.

N°2 : la coupe du Monde

S’il y a bien un sport qui passionne toutes les catégories d’âges et les deux sexes, c’est bien le football. Ce n’est pas étonnant que la Coupe du Monde obtienne le plus grand nombre d’audiences. L’événement est si populaire dans le monde entier que lorsqu’on parle de Coupe du Monde, il n’est plus nécessaire de préciser qu’il s’agit de football. Lors de l’édition 2010 qui s’est tenue en Afrique du Sud, la compétition a réuni près de 3,2 milliards de spectateurs. De plus, dès les matchs éliminatoires, les yeux du monde entier sont rivés sur leur poste de télévision. De nombreux magazines de sport se concentrent aussi sur l’évolution et la classification des équipes pour cette compétition tant attendue.

N°3 : les Jeux olympiques d’été

Les Jeux olympiques d’été se classent haut les mains parmi les compétitions sportives les plus regardées dans le monde entier. En 2012, ils obtiennent leur meilleur taux d’audience avec plus de 3,6 milliards de téléspectateurs qui équivaut à la moitié de la population mondiale. C’est principalement la participation des athlètes venus des quatre coins du monde qui permet aux Jeux olympiques d’été de faire partie de ce Top 3. En effet, les gens veulent regarder et soutenir leurs compatriotes durant une compétition d’une envergure internationale.

Différences et points communs entre la boxe anglaise et française

Les centres de sports, comme defensestactiques.fr à Rennes et Vern Sur Seichei, proposent des cours de boxe anglaise et française. Pour choisir laquelle de ces disciplines vous voulez pratiquer, informez vous des différences entre les deux sports.
La boxe anglaise est apparue avant la boxe française. Même si la boxe anglaise s’est inspirée d’affrontements de rue, seuls les coups de poing sont autorisés pendant sa pratique. Seuls les coups au-dessus de la ceinture sont permis (visage et buste).
Dans la boxe française, en plus des coups de poing, les coups de pieds sont permis. On peut ainsi donner des coups en dessous de la ceinture (jambes).
Les compétitions de boxe anglaise et de boxe française consistent à battre son adversaire sur le ring avec des gants de boxe aux points ou par KO. On retrouve les mêmes noms donnés à plusieurs coups aussi bien dans la boxe anglaise que la boxe française.

Bienfaits et contre-indications

La boxe, qu’elle soit anglaise ou française, est non seulement un sport, mais aussi un moyen d’évacuer son stress. Les entraînements ne se font pas toujours avec un adversaire, car on peut aussi utiliser un sac de boxe.
La boxe, anglaise ou française, est une discipline qui permet d’améliorer sa puissance musculaire, son endurance, sa rapidité et la coordination de ses mouvements. De plus, la boxe permet de travailler sa cardio. La boxe française est conseillée si vous désirez raffermir ou renforcer vos jambes.
Malgré ses bienfaits, tout le monde ne peut pas pratiquer la boxe anglaise ou française. Ces deux activités physiques sont contre-indiquées en cas de myopie, de grossesse ou de problèmes cardiaques.

Ce qu’il faut connaitre sur le freestyle

On a de plus en plus de personnes qui pratiquent le freestyle quand arrive l’hiver. Il est en effet, possible de faire du freestyle, que vous soyez un adepte de ski alpin ou nordique, de saut à ski, ou encore, de monoski, de combiné, de snowboard ou de freeride. Cette discipline fait même l’objet des disciplines à faire, lors d’une compétition internationale, de nos jours. C’est un genre de compétition qui peut se dérouler dans n’importe quelle station de ski et à n’importe quelle période. Dans la pratique, un sportif qui fait du freestyle doit apprendre les bases concernant les figures au sol ou aériennes à faire. Toutefois, au fil de son expérience, il peut également créer d’autres figures et des styles qui lui sont propres. Parmi les figures de base, on a le backflip. Il s’agit d’une figure qui ne peut se faire que si vous avez un tremplin sur lequel sauté ou, si vous êtes en hors piste, une bosse qui permet de prendre un élan pour réaliser un saut et une figure. Une fois en l’air, vous aurez à effectuer un saut périlleux arrière. De ce fait, il est important de disposer d’une bonne condition physique lorsqu’on pratique le freestyle. Les professionnels et les plus expérimentés peuvent même réussir à éviter des skieurs qui glissent en bas, en cours de saut. Néanmoins, pour avoir de l’expérience avec le freestyle, il est essentiel de pratiquer fréquemment, et idéalement, dans des clubs avant de se lancer en hors piste et dans des compétitions. Il est aussi conseillé de ne pas réaliser des figures de freestyle dans un endroit bondé de monde, ou avec des skieurs aux alentours, si vous n’avez pas encore d’expériences. Il est préférable de se rendre dans une station avec des terrains et des pistes aménagées spécialement pour les freestyleurs pour la pratique. Cela peut être un snowpark, ou encore un boardercross.

Les préparatifs, une étape primordiale

Avant de se lancer dans le freestyle, il est conseillé de bien s’chauffer et de bien se préparer. En effet, les accidents dans la neige peuvent être fréquents, mais avec la performance physique demandée par cette pratique, il est aussi très important de se préparer. Le freestyle sollicite énormément de muscles et d’articulations, non seulement des membres inférieurs, mais aussi des membres supérieurs. De ce fait, avant de s’y lancer, il est nécessaire de faire un peu d’étirement. Par étirement, on doit cibler en premier lieu, le buste. Pour ce faire, mettez-vous debout et commencez par tendre les jambes et écartez-les légèrement. Ensuite, levez le bras gauche et essayez de vous penchez en touchant l’extrémité de la jambe droite. Faites de même avec l’autre pied et l’autre bras. Il faut aussi penser à bien étirer les genoux, car c’est la partie du corps dont les articulations vont être très sollicitées. Il en sera de même pour les jambes. Ensuite, pensez également à bien vérifier vos équipements. Préférez le contrôle sous les yeux avisés d’un spécialiste dans ce cas, surtout dans la vérification des fixations de vos skis ou de votre snowboard. Il faut aussi se préparer mentalement, car sur les pistes de freestyle ou en hors pistes, il est interdit de s’arrêter en cours de route. Vous devez toujours prendre de la vitesse et finir votre course jusqu’à la fin pour éviter de se blesser ou de blesser quelqu’un. Et enfin, pensez à mettre un casque si vous débutez ou que vous êtes avec un enfant. Il doit aussi en avoir. Cela, pour éviter de se blesser si on se met en contact avec d’autres skieurs.

Le terrain adapté pour lancer un boomerang

Il est fortement déconseillé de pratiquer le boomerang en ville. Vous devriez vous trouver dans un endroit dégagé où vous ne risquerez de blesser personne. Placez-vous au centre de ce terrain. Prenez compte de la force et de la direction du vent. Pour cela, vous pouvez vous faire aider d’un brin d’herbe ou de quelques feuilles. Un foulard devrait aussi vous informer. Lâchez l’un de ces objets pour voir la direction et la vitesse à laquelle il se déplace. La lancée de boomerang se fait idéalement avec un vent faible de 0 à 15 km. Le calme plat n’est pas indispensable. La pluie modérée sera tolérable. Le projectile en bois doit être lancé en contournant le vent.

Plusieurs méthodes pour la lancée

Concrètement, saisissez le boomerang par le pouce et l’index. Jetez-le de manière verticale. Veillez initier un mouvement de rotation similaire à celui d’une roue de voiture. Aidez-vous de votre avant-bras. N’oubliez pas non plus d’amplifier le mouvement par un coup de poignet. C’est la base même de la lancée. Commencez par maîtriser cette technique avant de vous préoccuper de la force à laquelle vous lancez le boomerang. Certains lanceurs saisissent le projectile avec tous les doigts. C’est efficace aussi à condition de trouver le bon coup de poignet initiant la rotation de l’objet. Pour le rattraper, servez-vous de vos deux paumes comme si vous allez applaudir. C’est « la prise en sandwich ». Cette dernière demande beaucoup de pratique avant d’être maîtrisée. Bonnes lancées !

Renseignez-vous bien sur le parcours

Les parcours en eau vive sont classés par niveau de difficulté. Vous devez prendre le temps de bien connaître le parcours à parcourir et vous y préparer. Il existe quatre classes de parcours : la classe I jugée facile avec des cours réguliers, des petites vagues, des petits remous et des obstacles simples. Puis, il y a la classe II moyennement difficile, la classe III difficile et la classe IV inadaptée au SUP ou réservée uniquement aux experts. Avant de vous jeter dans l’eau, faites une petite reconnaissance du cours d’eau emprunté. Il y a toujours des guides papiers ou en ligne, mais il est tout de même conseillé de repérer à pied vos points de repères, les passages difficiles, etc. Puis, n’oubliez pas de vous renseigner sur les horaires de lâcher d’eau des barrages. Enfin, vous devez avoir une solide connaissance des eaux vives. Repérer les caractéristiques de l’eau : les tourbillons, les courants et les contre-courants… Connaître les postures d’urgence en cas d’accident : comment nager pour gagner les rivages ?

Equipez-vous de matériels adéquats

Mis à part de choisir le meilleur SUP selon votre niveau et le niveau de difficulté de l’eau, il faut porter des équipements de sécurité. Portez une protection thermique comme une combinaison néoprène contre le froid ou encore une combinaison lycra contre le soleil. Portez également un gilet, des chaussures et des bottillons en néoprène et un casque. Selon le niveau de parcours, vous pouvez ajouter des coudières, des protèges tibias et des genouillères.

Suivre un briefing

Tous les participants passent d’abord par un briefing pour mieux appréhender ce sport. En moyenne, un saut en parachutisme dure 15 minutes. Le briefing est important de savoir ce qu’il faut faire pendant ce quart d’heure de saut libre. Néanmoins, il vous indique également les comportements à adopter lors de la sortie de l’avion et l’atterrissage. N’oubliez pas de bien relever vos jambes pour un atterrissage en toute sérénité.

Avoir le comportement idéal

Le saut en parachutisme peut être stressant pour les débutants. L’activité est très riche en adrénaline. Avant de vous lancer au saut, évitez de manger des substances excitantes comme l’alcool et le tabac. Il est plus prudent de faire vérifier tout votre matériel par un moniteur avant de vous lancer. Une fois atterri sur le sol, dégagez immédiatement la piste pour votre propre sécurité et celle des autres paras.

Comment se déroule le saut ?

Tous les paras sont tenus de bien s’asseoir par ordre de sortie dans l’avion. Vous devez vous équiper d’une ceinture et d’un casque. La sortie normale est en moyenne à 900 m d’altitude. N’oubliez pas de vitrifier aussi souvent que possible votre altitude durant la chute.

Le Speed-badminton est un tout nouveau sport

Créé dans les années 90, le speed-badminton est un sport qui se pratique avec une raquette. Initialement appelé Shuttleball, il s’agit d’un mélange de tennis, de squash et de badminton. Appelé Crossminton depuis 2016, cette discipline compte près de 1 000 licenciés en France. Cependant, c’est surtout en Allemagne qu’elle compte le plus grand nombre d’adeptes. En outre-Rhin, le speed-badminton compte plus de 80 000 titulaires d’une licence.

Une discipline qui se pratique quasiment partout

Inventé par le marin allemand Bill Brands, ce sport a la particularité de se pratiquer n’importe où. Il voulait créer une autre version du badminton mais pour l’extérieur. Ainsi, vous pourrez jouer au speed-badminton dans une pièce, dans la cour ou sur la place. De temps à autre, des compétitions sont organisées. Le crossminton se joue en 1 contre 1 ou en double, comme au tennis. A la différence du badminton, cette discipline se pratique sans filet. Ce qui le rend encore plus accessible.

Un minimum de matériel pour pratiquer

Étant donné que le crossminton se destine davantage pour le plein air, les équipements ont été adaptés en conséquence. Le volant de badminton a été repris, mais a été alourdi de quelques grammes. Les raquettes restent les mêmes que celle de la discipline d’origine. Pour ce qui est du terrain, chaque joueur se trouve dans un carré de 5,5 mètres. Les deux espaces sont séparés par 12,8 mètres. Le jeu consiste à ne pas sortir du carré et surtout de ne jamais laisser tomber le speeder. La partie se joue en 3 sets de 16 points.